Dans son article De la dangerosité de l’essai clinique et du vaccin expérimental COVID-19 et de la non justification scientifique des mesures autour des vaccins expériementaux du 16 septembre 2021, Dr Astrid Stuckelberger explique pourquoi le premier principe d’éthique de la médecine «primum non nocere» n’est pas respecté dans tous les sens du terme avec les vaccins mRNA expérimentaux.
La preuve pour une épidémie ou pandémie qui puisse justifier les mesures et une injection expérimentale est inexistante. Il y aucune surmortalité dans le monde en 2020. Dr Stuckelberger: “Le COVID-19 n’est pas un risque pour la population qui a été tres peu touchée (99.997% de la population n’est pas malade ou a été rétablie) et dont la gestions est maitrisable.(…). La justification basée sur le manque de traitement n’est pas recevable, vu que l’Ivermectine a montré une efficacité sans faille et sans effets secondaires pour combattre les symptñmes COVID-19, dans de nombreuses études, revues systématiques et meta-analyse de 63 études.” (page 18)
Après avoir étudié les aspects les plus importants concernant les injections COVID-19, elle conclut que:
“La recherche devrait immédiatement mettre fin aux injections de «vaccins expérimentaux» causant autant de morts déclarés par formulaires officiels. Soulignons que, selon le principe de precaution, non seulement la campagne de «vaccination expérimentale» doit étre immédiatement stoppées, mais les «vaccins expérimentaux» devraient étre retires du marché et interdits avec fermeture du centre, car elle portent atteintes a la santé des sujets qui ont accepté cette expérimentation.” (page 3)
Mortalité et effets secondaires alarmants
Mêmes les sources officielles montrent une mortalité et des effets secondaires alarmants. Selon la base de données européenne de pharmacovigilance EudraVigilance qui publie régulierement les rapports sur les déces et effets indésirables lies au «vaccin expérimental», on peut relever des chiffres alarmants aprés huit mois de l’utilisation des vaccins expérimentaux.
Situation au moment de la publication de cet article: 23’924 décès, 2’478’978 effets secondaires, dont 8’539 adolescents âgés de 12-17 ans, 27’715 handicaps irréversibles (page 2).
Les décès sont lies en grande partie à des désordres vasculaires et respiratoires. A souligner que le nombre d’adolescents rapportant via leurs médecins des effets indésirables est extrémement élevé alors que ce sont des événements en principe rarissime.
Présence de nanoparticules de graphene: cytotoxique et génotoxique
L’Espagne a été la première a tirer la sonnette d’alarme sur la composition des fioles du vaccin Comirnaty Pfizer/BioNtech. Les chercheurs espagnols avait trouvé du graphène. Cette découverte choquante a été confirmée au niveau international. Choquante, car il existe plus de 2000 études sur la toxicité de l’oxyde de graphène et 500 d’entre elles ont été publiées en 2017. Jusqu’à présent, l’oxyde de graphène n’a jamais été utilisé sur les humains, mais il a fait entre autre l’objet de recherches approfondies pour une utilisation prévue sur les humains dans un contexte sécuritaire et militaire (pages 14 – 17).
Suite à cette découverte, plusieurs groupes de recherches ont confirmé la même présence de graphène dans tous les vaccins expérimentaux, donc aussi dans Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson.
En outre du graphène, les analyses ont mis en évidences d’autres substances et éléments pouvant nuire à la santé: l’aluminium, l’acier inoxydable, le bismuth, les capsides de nanoparticules lipidiques parsemées d’oxyde de graphène et un parasite dangereux (Trypanosoma cruzi).
Dr Stuckelberger: “Non seulement, le graphène n’a jainais été mentionné dans les descriptions par les compagnies «candidates au vaccin validé» et de surcroit jamais mentionné dans le «consentement éclairé» principe éthique fondamental de toute recherche envers le sujet participant a un essai clinique, mais on ne connait ni les mécanismes mis en place avec des nanomatériaux dont des nanocapteurs et les implication de leurs fonctions cellulaires, génétiques et electro-magnétique dans le corps humain des personnes ayant subi le «vaccin experimental.” (page 14)
18 raisons pour refuser l’injection des vaccins expérimentaux
L’auteur met en évidence de nombreuses recherches et sources qui démontrent qu’il n’y avait aucune utilité ni justification au vaccin expérimental et une campagne de vaccination mondiale. Bien au contraire, elle liste 18 données pour refuser cette injection (pages 5 et 6).
Site internet de Dr Astrid Stuckelberger.